mardi 25 septembre 2012

La foule divisée

« Des gens de la foule, ayant entendu ces paroles, disaient : Celui-ci est vraiment le prophète. D'autres disaient : C'est le Christ. Et d'autres disaient : Est-ce bien de la Galilée que doit venir le Christ ? L’Écriture ne dit-elle pas que c'est de la postérité de David, et du village de Bethléem, où était David, que le Christ doit venir ? Il y eut donc, à cause de lui, division parmi la foule. Quelques-uns d'entre eux voulaient le saisir, mais personne ne mit la main sur lui. Ainsi les huissiers retournèrent vers les principaux sacrificateurs et les pharisiens. Et ceux-ci leur dirent : Pourquoi ne l'avez-vous pas amené ? Les huissiers répondirent : Jamais homme n'a parlé comme cet homme. Les pharisiens leur répliquèrent : Est-ce que vous aussi, vous avez été séduits ? Y a-t-il quelqu'un des chefs ou des pharisiens qui ait cru en lui ? Mais cette foule qui ne connaît pas la loi, ce sont des maudits ! Nicodème, qui était venu de nuit vers Jésus, et qui était l'un d'entre eux, leur dit : Notre loi condamne-t-elle un homme avant qu'on l'entende et qu'on sache ce qu'il a fait ? Ils lui répondirent : Es-tu aussi Galiléen ? Examine, et tu verras que de la Galilée il ne sort point de prophète. Et chacun s'en retourna dans sa maison. » (Jean 7.40 – 53)


Jésus est allé à Jérusalem pour la fête des Tabernacles. Il a enseigné au temple. La plupart des juifs n'aimaient pas ce qu'il disait, surtout les pharisiens. Mais personne ne l'a touché. Même des huissiers, envoyés par les chefs religieux ne l'ont pas arrêté, mais ils ont écouté ce qu'il disait.


  1. La division
    1. On voit encore une division dans la foule. On l'a déjà vue. Verset 12, 30 – 31.
      1. L'Évangile peut causer la division. « Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu'une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu'à partager âme et esprit, jointures et moelles ; elle juge les sentiments et les pensées du cœur. » (Hébreux 4.12)
      2. La division est souvent un problème chez les non-chrétiens ainsi que chez les chrétiens. « Les flocons de neige sont une des choses les plus fragiles de la nature, mais il suffit de regarder ce qu'ils peuvent faire quand ils collent ensemble. »
    2. Certains croyaient qu'il était un prophète (Deutéronome 18.15). D'autres le Christ (verset 31, Ésaïe 35.5). D'autres voulaient le tuer. Pourquoi tous ces avis différents ?
      1. Certains prennent un seul verset sans penser aux autres, ou sans regarder son contexte.
      2. Certains pensent plutôt à ce qu'ils ont entendu. Ils auraient pu poser les questions à Jésus, mais ils sont restés bloqués sur le fait qu'il est de Galilée. Ils auraient pu chercher davantage dans les écritures, les registres de Bethléem… etc.
      3. D'autres sont en colère, ils sont poussés par leurs émotions. Au lieu de chercher la vérité, ils se mettent en colère contre Jésus, qui n'a rien fait. Ils étaient bloqués par les enseignements de leurs maîtres.
  2. Les courageux.
    1. Les huissiers.
      1. Les huissiers viennent, les mains vides, sans ramener Jésus. Les pharisiens ne sont pas contents. C'est comme ça quand nos ennemis veulent nous faire tomber. Quand ils ne réussissent pas, ils sont encore plus en colère. « Le méchant le voit et s'irrite, il grince les dents et se consume ; les désirs des méchants périssent. » (Psaume 112.10) « Lorsque tous nos ennemis l'apprirent, toutes les nations qui étaient autour de nous furent dans la crainte ; elles éprouvèrent une grande humiliation, et reconnurent que l’œuvre s'était accomplie par la volonté de notre Dieu. » (Néhémie 6.16) Au début peut-être les pharisiens pensent que Jésus les a évités, qu'il s'est caché. Mais la vraie raison est qu'ils trouvent que les paroles de Jésus étaient bonnes (ou vraies).
      2. Les pharisiens auraient dû réfléchir. Si ces huissiers étaient convaincus, peut être y avait-t-il quelque chose de bien chez Jésus. Mais au contraire, les pharisiens disent aux huissiers : « Vous êtes séduits ! » Puis ils présentent ses adeptes comme des gens mal éduqués. Aujourd'hui encore les chrétiens sont critiqués ainsi.
    2. Nicodème.
      1. On a parlé de Nicodème en chapitre 3. Il est un disciple secret de Jésus. (Pourquoi n'avait-il pas suivi Jésus ? Pourquoi est-il resté parmi les pharisiens ? Jésus ne lui a pas dit de le suivre. Il avait comme dans ce cas-là, l'occasion de témoigner pour Jésus.) Mais il doit parler ici. Son argument est juste et rationnel. « Notre loi condamne-t-elle un homme avant qu'on l'entende et qu'on sache ce qu'il a fait ? » Nicodème a choisi de ne pas se dévoiler. Peut-être êtes-vous dans une situation identique. Cela montre aussi le changement qui a eu lieu dans le cœur de Nicodème, il n'est plus comme eux.
      2. Les pharisiens, au lieu de répondre à son argument, s'attaquent à lui. On voit aussi qu'ils croient que Jésus est de Galilée. Ils disent faussement qu’aucun prophète n’est venu de Galilée, néanmoins les prophètes Nahum et Jonas étaient Galiléens. Ils se dépêchent de terminer la réunion et de rentrer chez eux, parce qu'ils s’attendent à ce que plus de personnes parlent en faveur de Jésus. Faisons-nous de même avec les autres, donnons-leur nous le temps de s'exprimer ? Ou sommes-nous repliés sur certaines doctrines ? 

mardi 18 septembre 2012

Venir


« Quelques habitants de Jérusalem disaient : N'est-ce pas là celui qu'ils cherchent à faire mourir ? Et voici, il parle librement, et ils ne lui disent rien ! Est-ce que vraiment les chefs auraient reconnu qu'il est le Christ ? Cependant celui-ci, nous savons d'où il est ; mais le Christ, quand il viendra, personne ne saura d'où il est. Et Jésus, enseignant dans le temple, s'écria : Vous me connaissez, et vous savez d'où je suis ! Je ne suis pas venu de moi-même: mais celui qui m'a envoyé est vrai, et vous ne le connaissez pas. Moi, je le connais ; car je viens de lui, et c'est lui qui m'a envoyé. Ils cherchaient donc à se saisir de lui, et personne ne mit la main sur lui, parce que son heure n'était pas encore venue. Plusieurs parmi la foule crurent en lui, et ils disaient : Le Christ, quand il viendra, fera-t-il plus de miracles que n'en a fait celui-ci ? Les pharisiens entendirent la foule murmurant de lui ces choses. Alors les principaux sacrificateurs et les pharisiens envoyèrent des huissiers pour le saisir. Jésus dit : Je suis encore avec vous pour un peu de temps, puis je m'en vais vers celui qui m'a envoyé. Vous me chercherez et vous ne me trouverez pas, et vous ne pouvez venir où je serai. Sur quoi les Juifs dirent entre eux : Où ira-t-il, que nous ne le trouvions pas ? Ira-t-il parmi ceux qui sont dispersés chez les Grecs, et enseignera-t-il les Grecs ? Que signifie cette parole qu'il a dite : Vous me chercherez et vous ne me trouverez pas, et vous ne pouvez venir où je serai ? Le dernier jour, le grand jour de la fête, Jésus, se tenant debout, s'écria : Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi, et qu'il boive. Celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein, comme dit l'Écriture. Il dit cela de l'Esprit que devaient recevoir ceux qui croiraient en lui; car l'Esprit n'était pas encore, parce que Jésus n'avait pas encore été glorifié. » (Jean 7.25 – 39)


Jésus est allé à Jérusalem pour la fête des Tabernacles. Cette fête durait huit jours. C'était un temps joyeux où les juifs construisaient des abris de branches et campaient dehors pour la durée de la fête. Ils commémoraient la sortie d’Égypte des Israélites sous la direction de Moïse. Après quelques jours Jésus a enseigné dans le temple. Les pharisiens posaient des questions et les gens avaient des avis différents sur lui. Dans ce passage, Jésus parle de ses origines, de sa destination, et comment on peut le suivre.


  1. D'où je viens.
    1. Les juifs qui habitaient à Jérusalem n'ont pas connu Jésus aussi bien que ceux de Galilée. Ils murmurent entre eux. Au moins ils cherchent la vérité. Ils demandent pourquoi les chefs religieux n'ont rien dit contre Jésus. Ils pensent que l'origine du Christ devait être un mystère. Par contre, ils ne peuvent pas imaginer le Christ, né dans le petit village de Bethléem, puis habitant Nazareth.
    2. Jésus connaissant leurs pensées leur dit qu'ils ne le connaissent pas. Ils ne savent même pas qui l'a envoyé. Jésus vient de Dieu. C'est Dieu qui l'a envoyé. Jésus leur dit qu'ils ne le connaissent pas.
    3. Et nos origines ? Je ne parle pas de nos origines physiques. Peu importe où vous êtes nés, où vous habitez, mais êtes-vous un enfant de Dieu ? Cherchez-vous à faire Sa volonté ?
  2. Je m'en vais.
    1. La foule veut le saisir parce qu'il s'est présenté comme égal à Dieu. Mais personne ne le fait parce que ce n'est pas le temps. L'heure de sa mort n'est pas encore venue. Mais parmi eux, certains ont cru en lui. Ils ont vu ses miracles, ils ont entendu son enseignement et ils ont cru. Ils remarquent que Jésus a fait beaucoup de miracles. N'est-ce pas la preuve qu'il est le Christ ? Donc même les habitants de Jérusalem qui suivent bien les enseignements des pharisiens posent la question. Mais les pharisiens ont entendu ce que la foule a dit et ils envoient des huissiers pour le saisir.
    2. Jésus leur dit qu'il partira. Les pharisiens ne le comprennent pas. Ils pensent toujours aux choses physiques au lieu des choses spirituelles. De plus, ils ne peuvent pas aller avec lui. Pourquoi ? D'abord Jésus va monter au ciel, et eux vont rester sur la terre. Mais Jésus connaît aussi le cœur des hommes. Jésus sait que les pharisiens ont un cœur dur et qu'ils ne l'accepteront pas.
    3. Comprenez-vous la parole de Jésus ? Croyez-vous qu'il est envoyé par Dieu, qu'il est mort sur la croix à votre place, mais qu'il est ressuscité, qu'il est aux cieux et qu'il prépare une place pour ses enfants ? Viendriez-vous là ? Si vous attendez, il peut être trop tard, et vous ne le trouverez pas.
  3. Qu'il vienne à moi.
    1. D'abord on doit parler un peu plus de cette fête. Il y avait une tradition que les sacrificateurs célébraient. Pendant cette fête le prêtre allait à la piscine de Siloé. Là, il remplissait un bol avec l'eau de la piscine. Puis avec des chansons et des louanges, il l'amenait au temple suivi par la foule, pour le verser sur l'autel. (Voyez – Ésaïe 12) Je crois que c'est à ce moment que Jésus a prononcé ces mots.
    2. Jésus donne une invitation à la foule. « Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi, et qu'il boive. » L'invitation a trois parties.
      1. D'abord il faut avoir soif. Il y a des gens qui approchent à Jésus par curiosité. Certains l'approchent parce qu'ils sont forcés par leurs parents ou autres. Si on n'a jamais soif, cela ne va pas durer. Il y a une expression au Texas, « On peut mener un cheval à l'eau, mais on ne peut pas le faire boire. » Il faut avoir soif de Jésus. Pensez à Jésus et la femme Samaritaine.
      2. Ensuite il faut s'approcher de Jésus. Il y a des gens qui ont soif, mais qui ne l'approchent pas, ou qui approchent quelqu'un d'autre et non pas le Christ, Jésus. Quand on a soif spirituellement, il n'y a que Jésus seul qui puisse l'assouvir.
      3. Finalement il faut boire. Encore certains ont soif, ils s'approchent de Jésus, puis ils se reculent. C'est triste d'être si près de l'eau vivante, mais de ne pas l'accepter.
    3. Ceux qui sont sauvés (qui ont eu soif, sont venus à Jésus, et ont bu) ont l’Esprit de Dieu. Tous ceux qui croient en Lui ont l'Esprit Saint, qui habite en nous. Qui nous aide et qui nous guide, et qui nous confirme notre salut. Avez-vous cet Esprit en vous ? Vous savez que cette fête des Tabernacles sera accomplie au retour de Jésus. Jean en parle encore dans l'Apocalypse 7 « Après cela, je regardai, et voici, il y avait une grande foule, que personne ne pouvait compter, de toute nation, de toute tribu, de tout peuple, et de toute langue. Ils se tenaient devant le trône et devant l'agneau, revêtus de robes blanches, et des palmes dans leurs mains. Et ils criaient d'une voix forte, en disant : Le salut est à notre Dieu qui est assis sur le trône, et à l'agneau. » (Apocalypse 7.9 – 10) Serez-vous parmi cette foule ce jour-là ?

samedi 1 septembre 2012

La Doctrine de Jésus


« Vers le milieu de la fête, Jésus monta au temple. Et il enseignait. Les Juifs s'étonnaient, disant : Comment connaît-il les Écritures, lui qui n'a point étudié ? Jésus leur répondit : Ma doctrine n'est pas de moi, mais de celui qui m'a envoyé. Si quelqu'un veut faire sa volonté, il connaîtra si ma doctrine est de Dieu, ou si je parle de mon chef. Celui qui parle de son chef cherche sa propre gloire ; mais celui qui cherche la gloire de celui qui l'a envoyé, celui-là est vrai, et il n'y a point d'injustice en lui. Moïse ne vous a-t-il pas donné la loi ? Et nul de vous n'observe la loi. Pourquoi cherchez-vous à me faire mourir ? La foule répondit : Tu as un démon. Qui est-ce qui cherche à te faire mourir ? Jésus leur répondit : J'ai fait une œuvre, et vous en êtes tous étonnés. Moïse vous a donné la circoncision, non qu'elle vienne de Moïse, car elle vient des patriarches, et vous circoncisez un homme le jour du sabbat. Si un homme reçoit la circoncision le jour du sabbat, afin que la loi de Moïse ne soit pas violée, pourquoi vous irritez-vous contre moi de ce que j'ai guéri un homme tout entier le jour du sabbat ? Ne jugez pas selon l'apparence, mais jugez selon la justice. » (Jean 7.14 – 24)


Jésus est arrivé à Jérusalem pour la fête des Tabernacles. Il n'a pas suivi le conseil de ses frères, il y est allé discrètement. Dans ce passage Jésus commence à enseigner au temple. La fête des Tabernacles était une fête joyeuse pour les juifs, la fête durait huit jours. Donc vers le quatrième jour, Jésus est entré dans le temple pour enseigner. Pourquoi a-t-il attendu ? Le début de la fête était rempli d'activités, donc les gens étaient occupés. Aussi au début de la fête les chefs religieux l'ont cherché pour le tuer. Donc Jésus a laissé un peu de temps avant de montrer sa présence aux autres.


  1. Sa doctrine.
    1. Les juifs entendent les enseignements de Jésus, ils sont étonnés. Comment peut-il connaître les écritures sans avoir étudié ? Il est vrai que pour nous, les êtres humains, si on veut mieux connaître les écritures, il faut les étudier.  Comment ? Lisez-les. Priez et cherchez à les comprendre. Comparez un passage avec d'autres. Cherchez les avis des autres.
    2. Jésus connaît les écritures parce que c'était et son Père qui les ont inspirées. Sa doctrine, ses enseignements, venaient de Dieu. Quelle chance pour les juifs de recevoir directement du Christ, les enseignements de Dieu !
    3. « Si quelqu'un veut faire sa volonté, il connaîtra si ma doctrine est de Dieu, ou si je parle de mon chef. » (verset 17) Jésus dit à la foule que si elle cherchait vraiment la volonté de Dieu, elle reconnaîtrait que sa doctrine est de Dieu. Jésus leur donne un défi : cherchez pour voir si mes enseignements sont de Dieu. Les juifs de Bérée l'ont fait après qu'ils ont reçu les enseignements de Paul et Silas. « Ces Juifs avaient des sentiments plus nobles que ceux de Thessalonique ; ils reçurent la parole avec beaucoup d'empressement, et ils examinaient chaque jour les Écritures, pour voir si ce qu'on leur disait était exact. » (Actes 17.11) Nous aussi, nous devons chercher les écritures pour vérifier que tout enseignement vient de Dieu.
    4. Jésus leur parle encore de la gloire. (voyez Jean 5.39 – 47) Il faut chercher la gloire de celui qui nous a envoyés. C'est inutile de chercher de nous glorifier. Certains hommes deviennent orgueilleux et insolents, car ils montent un beau cheval, portent une plume dans leur chapeau ou sont habillés avec un beau costume. Qui ne voit la folie de tout cela ? S'il y a de la gloire dans ces choses-là, la gloire appartient au cheval, à l'oiseau et au tailleur.
  2. La doctrine des chefs religieux.
    1. Les chefs religieux cherchaient leur propre gloire. Ils voulaient avoir la reconnaissance des hommes pour toutes les œuvres qu'ils avaient faites, « Mais le Seigneur leur dit : Vous, pharisiens, vous nettoyez le dehors de la coupe et du plat, et à l'intérieur vous êtes pleins de rapine et de méchanceté. » (Luc 11.39)
    2. « Et nul de vous n'observe la loi. » En fait, il est impossible d'observer la loi.
      1. La faute de ces gens était qu'ils ont cru l'avoir observée. Dieu a donné la loi pour nous montrer nos péchés. « Là où il n'y a point de loi, il n'y a point non plus de transgression. » (Romains 4.15) « Quiconque pèche transgresse la loi, et le péché est la transgression de la loi. » (1 Jean 3.4) Ils ne se sont pas rendu compte de leurs péchés. Si vous le leur aviez demandé, ils auraient dit qu'ils ont gardé la loi. « Et voici, un homme s'approcha, et dit à Jésus : Maître, que dois-je faire de bon pour avoir la vie éternelle ? . . . Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements. Le jeune homme lui dit : J'ai observé toutes ces choses ; que me manque-t-il encore ? » (Matthieu 19.16 — 20)
      2. Jésus utilise un exemple, « Pourquoi cherchez-vous à me faire mourir ? » « Tuer quelqu'un » est contre la loi de Moïse, même dans les dix commandements. Bien sûr ils font ce que beaucoup d'autres font, ils le nient. Vous êtes-vous rendu compte de vos péchés ? Avez-vous cherché à être réconcilié avec Lui ?
    3. Dans le deuxième exemple donné par Jésus, ils l'ont mal jugé. Jésus utilise la raison avec eux. Ils sont en colère avec lui parce qu'il a guéri un homme le jour du sabbat, mais ils circoncisent le jour du sabbat. « Ne jugez pas selon l'apparence, mais jugez selon la justice. » Donc on a la droit de juger si quelqu'un est de Dieu ou non, pas selon l’apparence, mais selon la justice. Il faut juger en se basant sur la parole de Dieu.