mardi 24 janvier 2023

Paul à Philippes

 Actes 16.6 – 40

« Définir la victoire » Cette expression veut dire que, avant de lancer quelque chose : un nouveau ministère, un défi, etc...qu'il faut préciser en avant le but. Dans le sport...marquer plus de points que l'adversaire. Donc définir la victoire. Exemple : Une église décide d'inviter le quartier pour un repas à l'église pour la Fête des Voisins. Après, il n'y a personnes qui vient à l'église, personne n'est sauvé...c'est un échec ? Pas forcement. Peut-être le but, la victoire, était de rencontre les voisins, publier le nom de l'église, peut-être pour les membres de l'église de travailler ensemble en communion. En regardant ce passage, on va voir des moments ou Paul aurait pu dire « Echec ! », quand en fait c'était plutôt, « Victoire ! ».


  1. L'appel Actes 16.6 – 10 « 6 Ils traversèrent la Galatie phrygienne parce que le Saint-Esprit les avait empêchés d’annoncer la Parole dans la province d’Asie. 7 Parvenus près de la Mysie, ils se proposaient d’aller en Bithynie ; mais, là encore, l’Esprit de Jésus s’opposa à leur projet. 8 Ils traversèrent donc la Mysie et descendirent au port de Troas. 9 Là, Paul eut une vision au cours de la nuit : un Macédonien se tenait devant lui et le suppliait : Viens en Macédoine et secours-nous ! 10 A la suite de cette vision de Paul, nous avons aussitôt cherché à nous rendre en Macédoine, car nous avions la certitude que Dieu lui-même nous appelait à y annoncer l’Evangile. »

    1. Paul visitait à nouveau certaines églises de Galatie qu'il avait aidé à organiser lors de son premier voyage missionnaire. En voyageant là-bas, il a rencontré un jeune homme du nom de Timothée, que Paul allait encadrer. Tout allait bien (verset 5).

    2. Quelle est la prochaine étape ? Où aller ? Contre (Verset 6 - 8)

      1. Il leur était interdit d'aller en Asie (Une région à l'est de la Galatie)

      2. Ils Ne pouvaient pas aller en Bithynie (au nord) Ce n'était pas qu'ils n'avaient pas besoin de l'évangile dans ces endroits, ce n'était tout simplement pas le moment. En fait, Paul finirait par visiter certaines de ces régions lors de son 3e voyage missionnaire.

      3. A traversé la Mysie jusqu'à Troas, sur la côte.

      4. La frustration de perdre du temps, de ne rien accomplir, aurait pu être très présente. Ils auraient pu avoir l'impression de patiner. Mais Dieu agissait et dirigeait. Romains 8.14 « Car ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu. »

    3. Conseils de Dieu (Versets 9 - 10)

      1. Paul a eu une vision. Les autres ne l'ont pas eu, mais ont attrapé la vision que Paul avait eue et ont agi avec lui. Il était clair pour eux tous que Dieu les appelait en Macédoine. (L'Europe, la Grèce) Notez que l'écriture passe de "ils" du verset 6-8 à "nous" au verset 10. Ainsi, Luc les avait rejoints à Troas.

      2. Parfois, Dieu ne nous donne pas de vision, mais veut que nous suivions la vision d'un leader.

      3. Priez que Dieu nous donne une vision tout aussi claire. Que nous verrions les perdus autour de nous. Il y a ceux qui nous entourent qui ont faim et qui cherchent. Ils ont un appétit spirituel que Dieu peut combler. Et il nous met dans une position pour aider à les orienter vers Jésus.

    4. Soyez conduit par l'Esprit comme Paul et sa compagnie l'étaient. De quelles manières nous conduit-il aujourd'hui ?

      1. Par sa parole

      2. Par nos circonstances

      3. Par sa présence directe. Romains 8.16 « L’Esprit Saint lui-même témoigne à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. »

  2. Aller où Dieu mène. (versets 11 -34) 

    1. Sur la route une fois de plus. Actes 16.11 - 12 « Nous nous sommes embarqués à Troas et nous avons mis directement le cap sur l’île de Samothrace. Le lendemain, nous avons atteint Néapolis. 12 De là, nous sommes allés jusqu’à la colonie romaine de Philippes, ville du premier district de Macédoine. Nous avons passé plusieurs jours dans cette ville. »

      1. Ils sont capables de trouver un navire rapidement. Avec un arrêt, ils arrivent le lendemain à Néapolis, qui est une petite ville portuaire plus proche de la grande ville de Philippes.

      2. Dieu leur a ouvert les portes pour qu'ils arrivent rapidement dans la plus grande ville de Macédoine. Il leur a fallu quelques jours pour s'installer et trouver un endroit où évangéliser.

      3. Philippes était une grande ville animée. Nommé d'après Philippe, roi de Macédoine, père d'Alexandre le Grand, avec des vallées fertiles, des sources de montagne et des mines d'argent et d'or, il y avait un peu de tout. Il y avait aussi beaucoup de commerce de passage, car c'était une route principale entre l'Europe et l'Asie.

    2. Évangélisation le jour du sabbat. Actes 16.13 - 15 « Le jour du sabbat, nous nous sommes rendus hors de l’enceinte de la cité, au bord d’une rivière où nous supposions que les Juifs se réunissaient d’habitude pour la prière. Quelques femmes étaient rassemblées là. Nous nous sommes assis avec elles et nous leur avons parlé. 14 Il y avait parmi elles une marchande d’étoffes de pourpre, nommée Lydie, originaire de la ville de Thyatire, une non-Juive qui adorait Dieu. Elle écoutait, et le Seigneur ouvrit son cœur, de sorte qu’elle fut attentive à ce que disait Paul. 15 Elle fut baptisée avec sa famille et ceux qui en dépendaient, puis elle nous invita en disant : Puisque vous avez jugé que j’ai foi au Seigneur, venez loger chez moi. Et, avec insistance, elle nous pressa d’accepter. »

      1. Évidemment, il n'y avait pas de synagogue. Selon la loi juive, il devait y avoir dix hommes juifs intéressés à démarrer une synagogue avant qu'une ne puisse être établie. Alors soit, il n'y avait pas beaucoup d'hommes juifs (j'en doute), soit les hommes qui étaient présents n'avaient aucun intérêt à l'établir et à grandir dans leur foi. Comment cela pourrait-il être possible ? Malheureusement, il y a beaucoup d'églises dans cette même position aujourd'hui.

      2. Mais Paul a entendu parler d'un lieu de prière au bord de la rivière. C'était une chose courante pour les croyants juifs d'avoir un lieu de prière en plein air, surtout s'il n'y avait pas de synagogue.

      3. Le groupe fréquente ce lieu de prière où les femmes étaient réunies. On dirait que les hommes ont disparu. Les femmes auraient été ravies d'avoir des hommes là-bas, pour entendre des nouvelles d'Israël et en apprendre davantage sur Dieu.

      4. Une femme en particulier, Lydie, a vraiment saisi le message.

        1. C'était une femme riche, peut-être veuve, de Thyatire (en Asie, où Paul n'a pas été amené à aller). Bien connu pour sa teinture violette à base de crustacés. Elle adorait Dieu. Son cœur était ouvert.

          1. Verbe grec "ouvrir" avec 2 prépositions ajoutées, de haut en bas, l'idée de complètement ouvert.

            1. Luc 24.31 – 32 « Alors leurs yeux s’ouvrirent et ils le reconnurent … mais, déjà, il avait disparu. 32 Et ils se dirent l’un à l’autre : N’avons-nous pas senti comme un feu dans notre cœur pendant qu’il nous parlait en chemin et qu’il nous expliquait les Ecritures ? »

            2. Luc 24.45 « Là-dessus, il leur ouvrit l’intelligence pour qu’ils comprennent les Ecritures. »

          2. (Que nous voudrions tous avoir notre cœur ouvert à Dieu de cette manière, non seulement pour le salut, mais pour être utilisé à Son service.)

        2. Elle était tellement excitée par ce qu'elle a entendu qu'elle l'a partagé avec sa famille ; parents et serviteurs. Ils ont tous accepté le message de l'Évangile et se sont fait baptiser. Juste comme ça, une église a été formée à Philippes.

        3. Elle les « contraignit » à lui faire l'honneur de rester dans sa maison. Du mot grec, "forcer contre nature". Exhorter fortement, ne pas accepter « non » comme réponse. Luc 24.28-29 « Entre-temps, ils arrivèrent près du village où ils se rendaient. Jésus sembla vouloir continuer sa route. 29 Mais ils le retinrent avec une vive insistance en disant : Reste donc avec nous ; tu vois : le jour baisse et le soir approche. »

    3. Les problèmes arrivent. 

      1. Une enfant (esclave) possédé par un démon. Actes 16.16 Un jour que nous nous rendions au lieu de prière, une esclave vint à notre rencontre. Elle avait en elle un esprit de divination, et ses prédictions procuraient de grands revenus à ses maîtres. 17 Elle se mit à nous suivre, Paul et nous, en criant à tue-tête : Ces hommes-là sont des serviteurs du Dieu très-haut : ils viennent vous annoncer comment être sauvés ! 18 Elle fit cela plusieurs jours de suite. A la fin, Paul, excédé, se retourna et dit à l’esprit : Je t’ordonne, au nom de Jésus-Christ, de sortir de cette femme ! A l’instant même, il la quitta. » 

        1. Plusieurs jours...ce démon a possédé un enfant, qui était dans la misère, et faisant profiter les gens de sa misère. (Esprit de divination... on ne sait pas exactement ce qu'elle pouvait faire, le mot étant utilisé pour les diseurs de bonne aventure, les ventriloques, les lecteurs de pensées. Devin - quelqu'un qui révèle l'avenir par divers moyens... mentalisme) Elle savait des choses qui elle ne devrait pas savoir. Le but de ceci était le même que n'importe quel démon et Satan : tuer, voler, mentir, dévorer, détruire.

        2. Sa déclaration, bien que vraie, n'était pas proclamée de la bonne manière. Il est intéressant qu'ils n'aient pas été autorisés à mentir contre Paul et Silas (ce n'était évidemment que deux d'entre eux ce jour-là) seulement perturber son message et sa réputation en le suivant et en criant cela, ce qui aurait détourné les gens. Exactement ce que Satan désirait.

        3. Après plusieurs jours à être suivi par elle, Paul en a finalement eu assez. Il a chassé le démon au nom de Jésus. Quelle chose merveilleuse pour cette fille, être libérée de l'oppression de cet esprit maléfique.

      2. L'amour de l'argent - Actes 16.19 - 24 « Lorsque les maîtres de l’esclave s’aperçurent que leurs espoirs de gains s’étaient évanouis, ils se saisirent de Paul et de Silas et les traînèrent sur la grand-place de la ville devant les autorités. 20 Ils les présentèrent aux magistrats romains et portèrent plainte contre eux en ces termes : Ces gens-là sont des Juifs qui jettent le trouble dans notre ville. 21 Ils cherchent à introduire ici des coutumes que nous, qui sommes Romains, n’avons le droit ni d’accepter, ni de pratiquer ! 22 La foule se souleva contre eux. Alors, les magistrats leur firent arracher les vêtements et ordonnèrent qu’on les batte à coups de bâton. 23 On les roua de coups et on les jeta en prison. Le gardien reçut l’ordre de les surveiller de près. 24 Pour se conformer à la consigne, il les enferma dans le cachot le plus reculé et leur attacha les pieds dans des blocs de bois. » 

        1. « Les maîtres... » remarquez que c'est au pluriel, comme si elle appartenait à plusieurs personnes qui utilisaient sa souffrance à leur avantage, j'imaginais qu'ils la maintiendraient 24h/24 et 7j/7 pour gagner le plus d'argent possible. Lorsqu'ils réalisent qu'ils ont perdu leur source de revenus, leur haine se tourne vers Paul et Silas.

        2. Leurs fausses allégations...

          1. Ce sont des juifs... leurs revendications étaient fondées sur le racisme, la haine d'un certain groupe de personnes.

          2. « Ils troublent notre ville... » ils ne causaient aucun problème. Ils avaient déjà été plusieurs semaines et n'avaient causé aucun problème. En fait, une communauté chrétienne dans votre ville devrait être une bonne chose. Nous devrions être connus pour notre amour et notre gentillesse.

          3. « Ils enseignent des coutumes qui ne nous sont pas licites en tant que Romains. » Ce n'est pas non plus vrai, il n'y avait pas de lois romaines contre l'adoration du vrai Dieu. En fait, ils encourageaient le culte de plusieurs dieux.

        3. Les résultats

          1. Une foule en colère ordonne (aux soldats romains) qu'ils soient battus. Cela aurait normalement eu lieu avec des tiges ou des roseaux sur le dos nu. Extrêmement douloureux pendant longtemps.

          2. Puis ils les jetèrent en prison. Et le geôlier sur leurs instructions, qui aurait entendu parler d'eux, car la nouvelle aurait vite circulé, les aurait mis dans la partie le plus sécurisé, et les aurait mis en taule. (peu importe à quel point vous êtes lié, Dieu peut vous libérer)

      3. De ce qui semble négatif à un Positif – Actes 16.25 - 34 « Vers le milieu de la nuit, Paul et Silas priaient et chantaient les louanges de Dieu. Les autres prisonniers les écoutaient. 26 Tout à coup, un violent tremblement de terre secoua la prison jusque dans ses fondations. Toutes les portes s’ouvrirent à l’instant même et les chaînes de tous les prisonniers se détachèrent. 27 Le gardien se réveilla en sursaut et vit les portes de la prison grand ouvertes : alors il tira son épée et allait se tuer, car il croyait que ses prisonniers s’étaient enfuis. 28 Mais Paul lui cria de toutes ses forces : Arrête ! Ne te fais pas de mal, nous sommes tous là. 29 Le gardien demanda des torches, se précipita dans le cachot et, tremblant de peur, se jeta aux pieds de Paul et de Silas. 30 Puis il les fit sortir et leur demanda : Messieurs, que dois-je faire pour être sauvé ? 31 – Crois au Seigneur Jésus, lui répondirent-ils, et tu seras sauvé ; il en est de même pour toi et pour les tiens. 32 Et ils lui annoncèrent la Parole de Dieu, à lui et à tous ceux qui vivaient dans sa maison. 33 A l’heure même, en pleine nuit, le gardien les prit avec lui et lava leurs blessures. Il fut baptisé aussitôt après, lui et tous les siens. 34 Puis il fit monter Paul et Silas dans sa maison, leur offrit un repas, et se réjouit, avec toute sa famille, d’avoir cru en Dieu. » 

        1. Il est minuit et Paul et Silas souffrent, sont mal à l'aise et ne peuvent pas dormir. Semble familier ? Alors ils prient et chantent ! Ce n'était certainement pas courant dans la prison. (la joie même pendant la souffrance est un des thèmes de Philippiens) Les autres prisonniers ont entendu, et aussi le geôlier avant qu'il s'endormait.

        2. Les tremblements de terre étaient rares mais se sont produits dans cette région. Celui-ci est unique. Si violente était la secousse non seulement toutes les portes mais aussi les bandes de tout le monde étaient desserrées. Liberté!

        3. Le geôlier s'était endormi. Quelle terrible façon de se réveiller. Il s'est réveillé, a supposé que tous les prisonniers dont il avait la charge s'étaient échappés et ensuite il allait se suicider. (le suicide n'est jamais une bonne solution)

        4. verset 28 - Paul crie de l'intérieur, il avait réussi à persuader tous ces prisonniers, criminels, de rester dans leurs cellules. On ne nous donne évidemment pas tous les détails sur la façon dont cela s'est passé.

        5. Le geôlier a été tellement choqué par la perspective que cela soit vrai qu'il a obtenu une lumière et est entré. Je peux voir alors qu'il s'enfonce plus profondément dans la prison, voir les portes et les chaînes posées par terre, voir les visages des prisonniers qu'il avait jetés dans la prison, et à travers la poussière trouve Paul et Silas, qui avaient été si sévèrement battus, toujours présentent.

        6. Vs. 30 « Messieurs, que dois-je faire pour être sauvé ? »

          1. Sauvé des Romains ? Non parce que tous les prisonniers étaient toujours là.

          2. Il avait entendu parler du salut dont Paul et Silas parlaient.

            1. De leurs prières et chants.

            2. De leur enseignement.

          3. Ce que je trouve étonnant, c'est que leur témoignage était si clairement présenté qu'il savait quoi demander. Que notre message aux perdus autour de nous soit si clair.

        7. Croyez. C'est ce dont vous avez besoin. Pas seulement vous, mais tout le monde. Il a été sauvé ainsi que toute sa maison.

        8. Sa vie a changé. Il a pris soin d'eux, a nettoyé leurs blessures. Il était tout entier, baptisé tout de suite. Et ils ont tout de suite eu un repas en commun. Dieu peut changer une vie de cette façon. Au milieu de la tragédie, de l'injustice, du désastre, de la mort, des décombres. Vous avez ce moment de salut, de joie, de communion. Quel moment merveilleux ! Dieu peut faire ça ! Il peut le faire même aujourd'hui !

  3. La suite... Actes 16.35 – 40 « Quand il fit jour, les magistrats envoyèrent les huissiers à la prison pour faire dire au gardien : Relâche ces hommes ! 36 Celui-ci courut annoncer la nouvelle à Paul : Les magistrats m’ont donné ordre de vous remettre en liberté. Vous pouvez donc sortir maintenant et aller en paix. 37 Mais Paul dit aux huissiers : Comment ! Ils nous ont fait fouetter en public, sans jugement régulier, alors que nous sommes citoyens romains, puis ils nous ont jetés en prison. Et maintenant, ils voudraient se débarrasser de nous en cachette. Il n’en est pas question ! Qu’ils viennent eux-mêmes nous remettre en liberté. 38 Les huissiers rapportèrent ces paroles aux magistrats. Ceux-ci, en apprenant qu’ils avaient affaire à des citoyens romains, furent pris de peur. 39 Ils vinrent en personne leur présenter des excuses, leur rendirent la liberté et leur demandèrent de bien vouloir quitter la ville. 40 A leur sortie de prison, Paul et Silas se rendirent chez Lydie, où ils retrouvèrent tous les frères, ils les encouragèrent, puis ils reprirent la route. »

    1. « Toutes les bonnes choses ont une fin ? » Ils n'ont pas vraiment à le faire. Mais il était temps pour Paul et Silas de passer à autre chose. Une église y était établie, réunie dans la maison de Lydie très probablement. Ils avaient des convertis entraînés à diriger. De jeunes nouveaux convertis enthousiastes. Et, comme nous le verrons bientôt, Luc reste avec eux en tant que pasteur par intérim.

    2. Les magistrats qui étaient si en colère contre ces types plus tôt, maintenant leur demandent pardon. Pourquoi? Le tremblement de terre et la superstition très probablement.

    3. Pourquoi Paul voulait-il des excuses ouvertes ? Il le voulait directement pour leur propre réputation et leur sécurité. Ils avaient vraiment foiré, si le mot était sorti qu'ils avaient illégalement battu et emprisonné des citoyens romains, il y aurait eu des problèmes pour toute la ville. Paul et Silas voulaient remettre leur bonne réputation, ce qui serait également transféré à leurs coreligionnaires laissé, l'église qui s'est formée.

    4. Paul et Silas décident de partir, mais pas tout de suite. Ils s'arrêtent pour réconforter et encourager l'église, chez Lydie. Et puis partis. Je parie qu'ils étaient assez confiants que Dieu les conduirait et les amènerait là où ils devaient être ensuite. Soyons de la même manière. Ils ont eu une bonne victoire à Philippes. Pour voir la série d'étude sur la lettre aux Philippiens cliquez ici.

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