samedi 27 octobre 2012

La Lumière du Monde

« Jésus leur parla de nouveau, et dit : Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. Là-dessus, les pharisiens lui dirent : Tu rends témoignage de toi-même ; ton témoignage n'est pas vrai. Jésus leur répondit : Quoique je rende témoignage de moi-même, mon témoignage est vrai, car je sais d'où je suis venu et où je vais ; mais vous, vous ne savez d'où je viens ni où je vais. Vous jugez selon la chair ; moi, je ne juge personne. Et si je juge, mon jugement est vrai, car je ne suis pas seul ; mais le Père qui m'a envoyé est avec moi. Il est écrit dans votre loi que le témoignage de deux hommes est vrai ; je rends témoignage de moi-même, et le Père qui m'a envoyé rend témoignage de moi. Ils lui dirent donc : Où est ton Père ? Jésus répondit : Vous ne connaissez ni moi, ni mon Père. Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. Jésus dit ces paroles, enseignant dans le temple, au lieu où était le trésor ; et personne ne le saisit, parce que son heure n'était pas encore venue. » (Jean 8.12 – 20)

  1. Jésus proclame être « la lumière du monde »
    1. Dans l'Ancien Testament, le Messie était proclamé comme « la lumière d'Israël » et « la lumière des Gentils ». Donc on peut dire qu'il est « la lumière du monde ». Il est la lumière présente à la création. Voir Ésaïe 42.6, 49.6, Psaumes 27.1.
    2. Dans le Nouveau Testament, Jésus est déjà présenté avec ce titre.
      1. « En elle (la Parole de Dieu) était la vie, et la vie était la lumière des hommes. » (Jean 1.4)
      2. « Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient dévoilées ; mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses œuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites en Dieu. » (Jean 3.19 – 21)
      3. « Jésus leur dit : La lumière est encore pour un peu de temps au milieu de vous. Marchez, pendant que vous avez la lumière, afin que les ténèbres ne vous surprennent point : celui qui marche dans les ténèbres ne sait où il va. » (Jean 12.35) « Je suis venu comme une lumière dans le monde, afin que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres. Si quelqu'un entend mes paroles et ne les garde point, ce n'est pas moi qui le juge ; car je suis venu non pour juger le monde, mais pour sauver le monde. » (Jean 12.46 – 47)
      4. « La ville n'a besoin ni du soleil ni de la lune pour l'éclairer ; car la gloire de Dieu l'éclaire, et l'agneau est son flambeau. Les nations marcheront à sa lumière, et les rois de la terre y apporteront leur gloire. Ses portes ne se fermeront point le jour, car là il n'y aura point de nuit. » (Apocalypse 21.23 – 25)
    3. Pourquoi a-t-il choisi ce titre ? Quelle en est la signification ?
      1. Pour montrer qu'il est le Messie dont l'Ancien Testament parle.
      2. Pour montrer qu'il est l’accomplissement de la loi de Moïse.
        1. Pendant la Fête des Tabernacles, ils ont allumé quatre grands candélabres dans la cour des femmes, là où se trouve le trésor (Jean 8.20). Ils étaient remplis d'huile et avaient une grande mèche, ils ont allumé la ville de Jérusalem depuis leur position sur la montagne de Sion. C'est un rappel de la lumière qui a guidé les Israélites dans le désert avec Moïse. Jésus était la lumière pour les juifs.
        2. Après la fin de la fête, les juifs avaient une tradition : ils ouvraient le coffre contenant les rouleaux et ils les remplaçaient par une bougie. « Ta parole est une lampe à mes pieds, Et une lumière sur mon sentier. » (Psaumes 119.105) Jésus est la Parole de Dieu.
      3. Pour montrer le changement qu'il peut faire à l’intérieur de l’homme, comme dans sa conversation avec Nicodème. Comment il peut les éclairer, leur donner de l'espoir. La prise de décisions dans l'obscurité peut conduire à des conséquences regrettables. « Avant qu’il n’y ait l’électricité, un vieux fermier rendait la vie dure au jeune homme qu’il avait engagé, lorsque ce dernier allait faire la cour à la plus belle de ses filles. Je n’avais pas besoin de lumière lorsque je voulais sortir avec une femme… Oui, répondit le jeune homme ironiquement, mais regarde ce que tu as… »
  2. L'épreuve pour son affirmation. Verset 13 les pharisiens l'accusent d'un faux témoignage. Il faut avoir deux témoins selon la loi. Jésus a deux témoins.
      1. D'abord Jésus peut témoigner de lui-même.
        1. Jésus connaissait ses origines et même sa destination. Les pharisiens ne les connaissaient pas.
        2. Le jugement de Jésus est meilleur que le leur. On a regardé leur jugement avec la femme dans les versets précédents. Les pharisiens pouvaient juger l’extérieur mais Jésus connaît l’intérieur des hommes. Son jugement est vrai.
      2. Jésus a un deuxième témoin.
        1. Dieu le Père.
          1. Le Père parle de son Fils dans l'Ancien Testament.
          2. Dieu s'est fait entendre au baptême de Jésus et à sa transfiguration.
        2. Les pharisiens ont mis en doute le témoin de son Père. Mais Jésus a simplement dit qu'ils ne le connaissaient pas. Le fait que l'on ne connaît pas un témoin ne change pas la vérité de son témoignage.
      3. Les pharisiens auraient pu appliquer leurs propres règles dans le cas de Jésus. Selon la tradition des juifs, un prophète était vrai s'il accomplissait une des choses suivantes.
        1. Il devait donner une ou plusieurs prophéties dans l’immédiat. Jésus l'a fait.
        2. Il devait faire un miracle. Jésus l'a fait.
        3. Il devait avoir un autre prophète qui parlait en faveur de lui. (Comme Élie l’a fait pour Élisée) Jésus en a eu plusieurs.
        4. Il devait montrer une connaissance de la Parole de Dieu. Jésus l'a fait. Donc les pharisiens sont sans excuse. Et vous ? Que pensez-vous de Jésus ? Invitez la Lumière de monde à entrer dans votre vie.

lundi 22 octobre 2012

La femme adultère

« Alors les scribes et les pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère ; et, la plaçant au milieu du peuple, ils dirent à Jésus : Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d'adultère. Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes : toi donc, que dis-tu ? Ils disaient cela pour l'éprouver, afin de pouvoir l'accuser. Mais Jésus, s'étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre. Comme ils continuaient à l'interroger, il se releva et leur dit : Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle. Et s'étant de nouveau baissé, il écrivait sur la terre. Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience, ils se retirèrent un à un, depuis les plus âgés jusqu'aux derniers ; et Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu. Alors s'étant relevé, et ne voyant plus que la femme, Jésus lui dit : Femme, où sont ceux qui t'accusaient ? Personne ne t'a-t-il condamnée ? Elle répondit : Non, Seigneur. Et Jésus lui dit : Je ne te condamne pas non plus : va, et ne pèche plus. » (Jean 8.3 – 11)


Voici un passage très intéressant et très riche. Jésus a déjà eu plusieurs rencontres avec les pharisiens. Il est évident qu'ils voulaient le tuer. Mais depuis l'occupation d’Israël par les Romains, ils n'avaient plus le droit de prononcer la peine de mort. D'abord il fallait le piéger.


  1. « Alors les scribes et les pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère ; et, la plaçant au milieu du peuple. . . »
    1. D'abord qui sont ces gens ? Ce sont deux factions juives qui normalement ne s'entendent pas l'une avec l'autre. Mais elles sont réunies contre Jésus.
    2. Comment ont-ils attrapé cette femme ? Pas de problème parce que le péché sexuel était toujours présent. Même à l'époque de Salomon. Il y avait deux prostituées qui se disputent pour un enfant volé. Les a-t-il tuées ? Il ne les a même pas réprimandées pour leur péché. À plusieurs reprises dans l'Ancien Testament les rois et les juges ont fermé les yeux sur les péchés sexuels. Aujourd'hui, faisons-nous pareil ? Les péchés sexuels sont graves parce qu'ils brisent le cœur des gens et peuvent laisser des traces toute la vie. Les résultats peuvent endommager la relation les années plus tard. Il y a beaucoup de gens qui portent des cicatrices émotionnelles, physiques et spirituelles.
  2. « . . . ils dirent à Jésus : Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d'adultère. Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes : toi donc, que dis-tu ? Ils disaient cela pour l'éprouver, afin de pouvoir l'accuser. »
    1. Quel est le piège ? S'il dit « oui », ils diraient qu'il est contre les Romains, et ils pourraient l'accuser devant le tribunal romain (Ponce Pilate). S'il dit « non », ils diraient qu'il est contre la loi de Moïse et alors le Sanhédrin et les juifs l’accuseraient devant les Romains.
    2. Quels sont les problèmes dans ce piège ? D'abord quand il y a un jugement pour adultère, il faut que soient présents la femme et l'homme. Ici, où est l'homme ? Puis ils ont mal compris la loi de Moïse, ce que Jésus a bien montré. Ces lois et ces règles n'étaient ni pour le salut, ni pour asservir. C'était pour les aider à vivre une vie sainte et pour leur montrer leurs péchés.
  3. « Mais Jésus, s'étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre. » Pourquoi faisait-il ainsi ? Il y a pas mal d'hypothèses, de conjectures et de supposition sur ce que Jésus a écrit. Écrit-il leurs noms ? (Jérémie 17.13) Écrit-il leurs péchés ? Écrit-il le nom de l'homme ? On ne nous l'a pas dit, donc ce n'est pas important. Je pense plutôt qu'il veut les ignorer. Peut-être pour leur donner l'occasion de réfléchir et de se repentir. Dans certaines versions il est ajouté « comme il ne les entend pas. »
  4. « Comme ils continuaient à l'interroger, il se releva et leur dit : Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle. Et s'étant de nouveau baissé, il écrivait sur la terre. »
    1. Ils ont insisté donc Jésus leur répond. On doit apprendre une leçon ici. Ne répondez pas trop vite aux autres. Prenez un moment pour réfléchir et prier. Ne soyez pas embarrassés de dire « je peux vous donner la réponse demain ? » « Sachez-le, mes frères bien-aimés. Ainsi, que tout homme soit prompt à écouter, lent à parler, lent à se mettre en colère. » (Jacques 1.19)
    2. Quelle réponse Jésus donne ! A-t-il évité leur piège ? Est-il resté fidèle à la loi ? Aux autorités romaines ? Sa réponse leur a fait penser à quoi ? Alors l'adage, « dans le piège qu'ils tendent leur propre pied est pris. » Dieu leur a fait regarder la parole de Dieu, cf. Deutéronome 17.7, « La main des témoins se lèvera la première sur lui pour le faire mourir, et la main de tout le peuple ensuite. Tu ôteras ainsi le mal du milieu de toi. »
    3. Encore Jésus leur a donné l'occasion de bien réfléchir et de penser à sa réponse.
  5. « Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience, ils se retirèrent un à un, depuis les plus âgés jusqu'aux derniers ; et Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu. »
    1. Quel est le rôle de leur conscience ? De les déclarer coupables de péché.
    2. Que font-ils ensuite ? Qu'auraient-ils du faire ? Au lieu de s'éloigner de Dieu, il vaut mieux s'en approcher.
    3. Pourquoi partent-ils depuis les plus âgés jusqu'aux derniers ? La sagesse est plus grande chez les personnes âgées. Cherchez leur conseil.
  6. « Alors s'étant relevé, et ne voyant plus que la femme, Jésus lui dit : Femme, où sont ceux qui t'accusaient ? Personne ne t'a-t-il condamnée ? Elle répondit : Non, Seigneur. Et Jésus lui dit : Je ne te condamne pas non plus : va, et ne pèche plus. »
    1. Pourquoi Jésus pose-t-il cette question, dont tous connaissent la réponse ? Qui nous accuse, et qui peut nous condamner ? Condamnons-nous les autres ?
    2. Donc qui reste ? Dans le tribunal spirituel, il n'y a que Jésus et toi.
    3. Pourquoi Jésus ne la condamne-t-il pas ? Voir Jean 3.17, Jean 8.15 et Luc 12.13. Jésus est aussi un Dieu miséricordieux.
    4. Que signifie la dernière phrase ? Jésus ignore-t-il son péché ?
  7. Qu’apprenons-nous dans ces versets ? Comment Dieu réagit-il quand on s'approche de lui en confessant nos péchés ? Comment devons-nous réagir avec les pécheurs de ce monde ?

mardi 9 octobre 2012

Jésus - le professeur idéal

« Jésus se rendit à la montagne des oliviers. Mais, dès le matin, il alla de nouveau dans le temple, et tout le peuple vint à lui. » (Jean 8.1 – 2)

  1. « Jésus se rendit à la montagne des oliviers. » Jésus avait l'habitude de le faire. « Pendant le jour, Jésus enseignait dans le temple, et il allait passer la nuit à la montagne appelée montagne des Oliviers. » (Luc 21.37) Ce verset vient à la suite du dernier verset du chapitre 7, « Et chacun s'en retourna dans sa maison. » (Jean 7.53) Cela nous rappelle des mots de Jésus, « Les renards ont des tanières, et les oiseaux du ciel ont des nids; mais le Fils de l'homme n'a pas où reposer sa tête. » (Matthieu 8.20)
    1. Jésus avait besoin de repos. Il a passé le jour avant à parler avec les pharisiens. Il leur a répondu à chaque fois. Donc il y a eu le stress. Le stress n'est pas un péché. Au contraire c'est une réaction du corps dans des situations de notre vie. Quand on est dans un moment de stress, notre corps réagit pour nous aider. Mais lorsque le moment est passé arrive la fatigue. C'est pourquoi il est important de se reposer, surtout quand on a du stress. Il est fortement probable que Jésus a passé la nuit chez Lazare, Marie, et Marthe. Ils habitaient le côté est de la montagne des oliviers, dans la ville de Béthanie. Nous aussi nous devons trouver le repos.
    2. Jésus avait besoin aussi de temps de solitude et de temps avec ses disciples.
      1. Parfois Jésus a cherché un lieu où il pouvait prier son Père. Il désirait du temps pour cela, même s'il était Dieu dans la chair. « Quand il l'eut renvoyée (la foule), il monta sur la montagne, pour prier à l'écart; et, comme le soir était venu, il était là seul. » (Matthieu 14.23) Nous avons besoin de temps de solitude avec notre Père céleste. Un temps pour le prier sans distractions. « Mais quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme ta porte, et prie ton Père qui est là dans le lieu secret; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra. » (Matthieu 6.6) Avez-vous un lieu et un temps pour vous approcher de Dieu dans la prière ?
      2. Jésus l'a fait aussi pour ses disciples. Eux aussi ont besoin de repos. Jésus est venu aussi pour choisir les hommes pour commencer son église. Il était là pour les former.
  2. Mais, dès le matin, il alla de nouveau dans le temple, et tout le peuple vint à lui.
    1. Malgré les attaques de la veille, Jésus s'est levé tôt le matin, et il est entré à Jérusalem. Quelle surprise ! On aurait pensé qu'il allait retourner en Galilée, dans sa propre région, ou il avait plus de succès. Mais au contraire, il est rentré à Jérusalem. Quel zèle ! Après un jour d'attaques et de persécution, Jésus s'est levé tôt le matin pour parler encore de Dieu. Que nous ayons nous aussi un tel zèle pour proclamer la Parole de Dieu !
    2. Jésus est allé au temple. Jésus est souvent allé au temple pour enseigner. Ce n'était pas seulement parce que c'est un lieu religieux, mais parce que c'est un lieu culturel. C'est là où tout le monde devait aller. Donc Jésus est allé où le peuple était. Quand on veut partager la parole de Dieu, il faut aller là où le peuple est. On ne peut pas attendre que les gens nous approchent. Il faut aller les chercher.
    3. On voit que « tout le peuple vint à lui ». C'est intéressant cette foule. Dans le chapitre précédent, ils étaient tiraillés. Une partie a apprécié Jésus et ses enseignements, mais l'autre partie a suivi les chefs religieux et voulait l'arrêter et le tuer. Mais dans ce chapitre la foule est revenue pour l'entendre encore. Les gens aujourd'hui sont pareils. Ils sont changeants. Il n'y a pas longtemps les chrétiens étaient respectés. J'ai entendu dire de la bouche de mon grand-père que quand il était jeune, il pouvait emprunter de l'argent en montrant qu'il était membre d'une église locale. On est loin de cela aujourd'hui. La personne aussi peut être contre la Bible, contre Dieu, un moment et puis changer d'avis. C'est pourquoi on ne peut pas perdre espoir avec quelqu'un. Les gens sont attirés par les choses religieuses. Ils ont une soif spirituelle pour Dieu, et éventuellement cela va se manifester.
  3. S'étant assis, il les enseignait.
    1. Jésus est assis.
      1. Cela était la position d'un maître à cette époque-là. Souvent on le voit avec Jésus. Cela signifiait qu'il allait enseigner et qu'il avait l'autorité. Peut-on enseigner de la même façon ? On ne peut pas enseigner avec l'autorité de Jésus, mais on peut présenter sa Parole, la Bible comme étant l'autorité.
      2. Cela signifiait aussi qu'il allait rester là pour un moment. Si Jésus était resté debout, les gens auraient pensé qu'il allait continuer à marcher après une pause. Jésus montrait qu'il voulait enseigner pour un moment. Nous devons montrer aux gens la même attitude. Ne donnez pas l'impression que vous leur parlez brièvement et puis vite passez à la prochaine chose. J'ai entendu plusieurs témoignages des missionnaires qui disent que ce n'était que quand les gens ont constaté que les missionnaires étaient là pour le long terme, qu'ils se sont ouverts.
    2. Il les enseignait.
      1. Que leur a-t-il dit ? A-t-il critiqué les pharisiens ? Les a-t-il réprimandés pour leur indécision ? Non, il les enseignait. Quand on parle aux autres, comment le fait-on ? Le fait-on de la manière d'un enseignant ? Fait-on plutôt comme un dictateur ? Un bon enseignant aime parler de son sujet. Un enseignant a un certain amour et un respect pour ses étudiants. Il voulait qu'ils apprennent. Il y a une étude de 3000 étudiants en terminale. Ils ont été interrogés sur leurs meilleurs enseignants. De leurs réponses l’on en a déduit que : le professeur idéal (1) est véritablement concerné et intéressé par les étudiants comme des individus (2), exige que les élèves doivent travailler; (3) est impartial envers les étudiants, et (4) est évidemment enthousiaste à propos de l'enseignement.
      2. Nous devons avoir la même passion. Notre désir est que le monde et les gens qui lui appartiennent apprennent plus sur Jésus, sur Dieu et sur la Bible. Notre but bien sûr c'est que tous l'acceptent comme Sauveur et Maître de leur vie. Même s'ils n’ont appris qu’une seule chose sur Lui, on peut dire que nous avons bien fait. Que Dieu nous aide à avoir la même passion pour le monde que Jésus, à les aimer, à désirer leur enseigner notre Dieu et notre Sauveur, Jésus Christ. N'oubliez pas que « Le professeur médiocre dit. Le bon professeur explique. L'enseignant supérieur démontre. Le grand professeur inspire. »