Ce chapitre commence avec la guérison
d'un homme aveugle de naissance. On l'a comparé avec quelqu'un
aveugle spirituellement qui a ses yeux spirituels ouverts. A la
suite on a vu le changement dans sa vie et comment les autres l'ont
remarqué. Maintenant on voit que les pharisiens refusent de voir,
de croire, mais cet homme prends position pour Jésus.
- Les questions commencent.
- La foule a déjà questionné cet homme. Maintenant elle veut savoir où se trouve cet homme qui peut guérir un aveugle. L'homme l'ignore. Jésus lui a envoyé de laver ses yeux et quand il est revenu, Jésus était déjà parti. La foule le mènent vers les pharisiens, les mêmes gens qui voulaient jeter des pierres à Jésus quelques heures auparavant. On voit que l'homme aveugle n'a pas de choix. La foule l'y force. Encore une fois dans sa vie il a du être mené par les autres. Faites attention où les gens vous mènent après le salut.
- Jean nous donne un indice. « Or, c'était un jour de sabbat que Jésus avait fait de la boue, et lui avait ouvert les yeux. » Les pharisiens étaient très légaliste en ce qui concerne le sabbat. Ils ont mal compris la loi de Moïse et les objectifs de cette loi. Jésus leur en a parlé à plusieurs reprises. Ils ne sont pas contents de ce que Jésus a fait. Et les pharisiens ont le pouvoir de jeter les juifs hors de synagogue. C'est une punition très sévère pour un juif. Il est exclu pas seulement de la religion mais aussi de la vie sociale.
- Les pharisiens redemandent comment il a recouvré la vue. Sûrement ils cherchent quelque chose à utiliser contre Jésus. Ils veulent prouver qu'il a péché et le discréditer devant les juifs.
- Quand on a nos yeux spirituels ouverts. Les gens vont nous poser des questions aussi. Peut-être ils les posent parce qu'ils veulent se moquer de nous. Peut-être ils veulent savoir la vérité. Peu importe leur raisonnement, c'est à nous de leur répondre selon leurs vrais désirs.
Un choix de prendre position pour
Jésus.
- Comment l'homme aveugle va-t-il répondre ? Il peut dire la vérité ou un mensonge. Il peut répondre discrètement. Il peut les aider en accusant Jésus, en appuyant sur le fait qu'il a travaillé le jour de Sabbat.
- Il raconte ce qui s'est passé. « Il a appliqué de la boue sur mes yeux, je me suis lavé, et je vois. » Tout simplement il donne son témoignage de ce que Jésus a fait pour lui. Il n'essaie pas de l'enrober pour les pharisiens. Il ne dit que la vérité.
- Puis on voit que sa réponse inspire d'autres personnes. « Sur quoi quelques-uns des pharisiens dirent : Cet homme ne vient pas de Dieu, car il n'observe pas le sabbat. D'autres dirent : Comment un homme pécheur peut-il faire de tels miracles ? Et il y eut division parmi eux. » D'autres gens osent parler eux aussi en faveur de Jésus. Ils ont raison. Est-ce possible qu'un homme qui ne vient pas de Dieu, puisse faire un miracle comme celui-là ?
- Les pharisiens donc se tournent encore vers cet homme et posent une autre question : « Toi, que dis-tu de lui, sur ce qu'il t'a ouvert les yeux ? ». Cet homme a une autre occasion de parler de Jésus.
- Nous aujourd'hui, nous avons des occasions comme celle-là, de répondre aux questions. On doit nous aussi prendre position pour Dieu, témoigner de nos propres expériences. Cela peut inciter les autres à en parler aussi. Malgré les persécutions que nous pouvons subir, disons la vérité.
Son courage.
- Cet homme a le courage de dire la vérité. Il risque pas mal de choses avec sa réponse à cette question : l'exclusion de la synagogue, le rejet par ses proches, même la mort. Ses sentiments pour Jésus, pour ce que Jésus a fait pour lui, le poussent à dire sans hésitation : Il est un prophète.
- Avons-nous ce courage aujourd'hui ? Une illustration : Il s'agissait d'un test effectué par une université où 10 étudiants ont été placés dans une chambre. Trois lignes de longueur variable ont été tracées sur le tableau. Ils ont demandés aux étudiants de lever la main lorsque l'instructeur soulignait la ligne la plus longue. Mais neuf des étudiants avaient été chargé au préalable de lever la main lorsque l'instructeur soulignait la ligne de la deuxième longueur. Un étudiant donc n'était pas au courant. Sa réaction habituelle était de lever sa main, regarder autour, et se rendre compte qu'il était tout seul, et donc la baisser. Cela s'est passé 75% du temps, avec des élèves de l'école primaire à travers l'école secondaire. Et nous ? S'ils nous ont posé une questions qui croit en Jésus ? Levons-nous la main ? Avons-nous le courage d'aller à l'église ? De dire « non » au péché ? De parler aux autres de Dieu comme quelqu'un l'a fait pour nous ? Dieu peut nous donner le courage.
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