« Tout va bien » 2 Rois 4.8 – 37.
As-tu eu des moments difficiles ? Des tempêtes dans la vie ? Comment faut-il réagir ? Voyons un bon exemple...
2 Rois 4.8 « « Un jour, Elisée passait par le village de Sunem. Une femme riche insista auprès de lui pour qu’il accepte de prendre un repas chez elle. Dès lors, chaque fois qu’il passait par ce village, il s’arrêtait chez elle pour manger. » Sunem était une ville entre Samarie et la Montagne Carmel. Donc Elisée passait souvent par là. Et cette femme, « grande », insiste que l'homme de Dieu mange chez elle. Un modèle de l'hospitalité...(Romains 12.13 – 20, Matthieu 25.34-40, Lévitique 19.33-34, 1 Pierre 4.9, 1 Timothée 5.10, Ésaïe 58.7).
2 Rois 4.9 - 11 « Elle dit à son mari : Je sais que cet homme qui passe toujours chez nous est un saint homme de Dieu. 10 Nous pourrions lui construire une petite chambre sur le toit et y mettre pour lui un lit, une table, une chaise et une lampe. Il pourrait loger là quand il viendra chez nous. 11 Un jour qu’Elisée repassait à Sunem, il alla donc se retirer dans la petite chambre haute et y passa la nuit. » Elle est allé plus loin, en lui faisant une chambre bien équipée avec ce qui lui fallait avec la permission de son mari. (L'homme de Dieu n'avait pas besoin de beaucoup de choses.)
2 Rois 4.12 – 16 « Puis il dit à son serviteur Guéhazi : Appelle cette Sunamite ! Guéhazi l’appela, et elle vint se présenter devant lui. 13 Elisée dit à Guéhazi : Dis-lui : « Tu t’es donné beaucoup de peine en faisant tout cela pour nous. Que pouvons-nous faire pour toi ? Faut-il parler en ta faveur au roi ou au chef de l’armée ? » Elle répondit : Non, merci. Je vis heureuse au milieu de mon peuple. 14 Elisée demanda à son serviteur : Que pourrions-nous faire pour elle ? Guéhazi répondit : Hélas ! elle n’a pas d’enfant, et son mari est âgé. 15 Elisée lui dit : Appelle-la ! Guéhazi obéit, et elle vint se présenter sur le pas de la porte. 16 Elisée lui dit : L’an prochain, à la même époque, tu tiendras un fils dans tes bras ! Elle s’écria alors : Que mon seigneur, homme de Dieu, ne me donne pas de faux espoirs, moi qui suis sa servante ! » Elisée l'a utilisé et donc voulait récompenser la femme pour cet hospitalité. Donc ils on fait la demande auprès de la femme, mais elle se disait être contente avec ce qu'elle avait. Donc ils ont chercher entre eux (Elisée et son serviteur) pour arriver à la conclusion qu'elle avait besoins d'un enfant.
2 Rois 4.17 « Cependant, cette femme devint enceinte et, l’année suivante à la même époque, elle donna naissance à un fils, exactement comme Elisée le lui avait prédit. » Elle a eu un fils. Quelle joie pour elle. Nous devrons être une bénédiction pour ce qui nous ont béni. Comme j'écris sur les cartes de remerciements aux églises qui nous soutiennent. « Que Dieu vous bénisse énormément, pour avoir été une bénédiction pour nous. »
2 Rois 4.18 – 23 « L’enfant grandit. Un jour qu’il était allé rejoindre son père auprès des moissonneurs, 19 il cria soudain à son père : Oh, ma tête ! Que j’ai mal à la tête ! Le père ordonna à son serviteur : Emporte-le vite chez sa mère ! 20 Le serviteur l’emporta et l’amena à sa mère, qui le prit sur ses genoux. Il y resta jusqu’à midi, puis il mourut. 21 Elle monta dans la chambre du prophète, le coucha sur le lit de l’homme de Dieu, referma la porte sur lui et sortit. 22 Puis elle appela son mari et lui dit : Donne-moi, je te prie, l’un des jeunes serviteurs et une ânesse ; je vais vite aller chez l’homme de Dieu et je reviens aussitôt. 23 – Pourquoi veux-tu aller chez lui aujourd’hui ? lui demanda-t-il. Ce n’est ni la nouvelle lune ni un jour de sabbat. Elle lui répondit : Tout va bien. » Le fils est mort. Il était assez âgé pour rentrer dans le champs avec son père. Quand il avait mal à la tête, le père l'a confié à sa maman (typique). Il est mort quelques heures plus tard. La femme se lève et le place dans le chambre de Elisée. Et communique avec son mari son désir d'aller voir le prophète. Ce qu'elle avait l'habitude de faire pendant souvent, ils ont communiqué et elle est partie avec son accord.
2 Rois 4.24 – 27 « Puis elle fit seller l’ânesse et dit à son jeune serviteur : Conduis-moi rapidement ! Ne m’arrête pas en cours de route sans que je te l’ordonne ! 25 Elle voyagea ainsi et parvint jusqu’au mont Carmel[e] où habitait l’homme de Dieu. Quand celui-ci l’aperçut de loin, il dit à son serviteur Guéhazi : Regarde, c’est notre Sunamite. 26 Cours vite à sa rencontre et demande-lui : « Tout va-t-il bien pour toi ? Ton mari est-il en bonne santé ? L’enfant va-t-il bien ? » Elle répondit : Tout va bien. 27 Elle poursuivit jusqu’à l’homme de Dieu sur la montagne, elle se jeta à ses pieds. Guéhazi s’approcha pour l’écarter. Mais Elisée lui dit : Laisse-la faire ! Elle est profondément affligée, mais l’Eternel ne me l’a pas fait savoir et il ne m’en a pas révélé la cause. » La femme vient à Elisée. En le voyant Elisée envoie son servant pour lui poser des question et elle réponde, « Tout va bien » (littéralement « Shalom »). Est-ce qu'elle a menti ? En arrivant à Elisée, elle tombe à ses pieds. (Elle n'était pas comme Hannah qui supplié Dieu, et Rachel qui menaçait même, « Donne-moi un fils ou je mourra ».) « La Providence de Dieu peut nous décevoir, mais ces promesse ne nous trompent pas, avec les promesses de Dieu nous ne aurons jamais honte ». Elle connaissait l'histoire de Elie et le fils de la veuve (I Rois 17.17 – 24, Hébreu 11.35).
2 Rois 4.28 – 37 « Alors la femme s’écria : Est-ce que j’ai demandé un fils à mon seigneur ? Ne t’avais-je pas dit : « Ne me donne pas de faux espoirs » ? 29 Elisée ordonna à Guéhazi : Mets ta ceinture ! Prends mon bâton en main et va. Si tu rencontres quelqu’un en chemin, ne perds pas de temps à le saluer, et si quelqu’un te salue, ne t’arrête pas pour lui répondre. Quand tu arriveras dans la maison de cette femme, tu poseras mon bâton sur le visage du garçon. 30 La mère de l’enfant s’écria : Aussi vrai que l’Eternel est vivant et que tu es toi-même en vie, je ne partirai pas sans toi ! Alors Elisée se leva et se mit en route avec elle. 31 Guéhazi les avait devancés et il avait posé le bâton sur le visage du petit garçon, mais rien ne s’était passé : pas un son, pas une réaction. Il revint donc sur ses pas, à la rencontre d’Elisée, et lui annonça que l’enfant n’était pas revenu à lui. 32 Quand Elisée arriva à la maison, le petit garçon était mort, étendu sur le lit. 33 Elisée entra, ferma la porte sur eux deux et pria l’Eternel. 34 Il monta sur le lit et se plaça sur l’enfant, il appliqua sa bouche sur sa bouche, ses yeux sur ses yeux, ses mains sur ses mains. Comme il restait ainsi étendu sur lui, le corps de l’enfant commença à se réchauffer. 35 Le prophète se releva, marcha de long en large dans la chambre, puis s’étendit de nouveau sur l’enfant. Soudain le petit garçon éternua sept fois et rouvrit les yeux. 36 Elisée appela Guéhazi et lui dit : Va chercher cette Sunamite ! Guéhazi l’appela et elle vint vers Elisée qui lui dit : Voici ton fils, reprends-le ! 37 Elle s’avança, se jeta à ses pieds et se prosterna jusqu’à terre, puis elle prit son fils dans ses bras et sortit de la pièce. » Elisée va chez la femme. Par la prière et ses actes, il demande un miracle de Dieu. Et la femme reçoit son fils. Tout va bien. Même dans les moments les plus difficiles, Dieu est toujours là pour nous. On ne sait pas ce que Dieu va faire, mais on peut lui faire confiance et dit « Tout va bien. » Romains 8.28 « Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. »
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