(J'ai écris cette étude au debut de l'école de langue) A la vue de ce que Paul avait fait, la foule éleva la
voix, et dit en langue lycaonienne: Les dieux sous une forme humaine
sont descendus vers nous. (12) Ils appelaient Barnabas Jupiter, et Paul
Mercure, parce que c'était lui qui portait la parole. (13) Le prêtre de
Jupiter, dont le temple était à l'entrée de la ville, amena des taureaux
avec des bandelettes vers les portes, et voulait, de même que la foule,
offrir un sacrifice. (14) Les apôtres Barnabas et Paul, ayant appris
cela, déchirèrent leurs vêtements, et se précipitèrent au milieu de la
foule, (15) en s'écriant: O hommes, pourquoi agissez-vous de la sorte?
Nous aussi, nous sommes des hommes de la même nature que vous; et, vous
apportant une bonne nouvelle, nous vous exhortons à renoncer à ces
choses vaines, pour vous tourner vers le Dieu vivant, qui a fait le
ciel, la terre, la mer, et tout ce qui s'y trouve. (Actes 14.11-15)
Si, je sais
que Dieu m'appelle en France, je sais aussi que je dois apprendre le
français, j'ai pensé que ce serait facile. Mais après quelque jours j'ai
changé d'avis. J'ai réalisé que c'était difficile d'apprendre une
nouvelle langue. Donc, j'ai cherché la bible pour trouver un verset qui
dit au missionaire, “tu dois apprendre la langue.” Je n'en ai pas
trouvé. Mais, j'ai trouvé ce texte là.
Barnabas et Paul etaient à
Lystre. Ils annoncaient la bonne nouvelle. Ils faisaient des miracles.
Mais les gens de cette region pensaient qu'ils étaient Jupiter et
Mercure. Mais, ils ont parlé la langue lycaonienne. Paul et Barnabas
parlaient le grec. Paul et Barnabas ne comprenait rien, sauf qu'ils
voyaient. Il a vu les bonnes choses. Les gens sont tres enthousiastes.
Quand ils ont su ce qui c'était vraiment passé, ils ont déchiré leurs
vêtements et ils ont crié “stop”. Il y aurait eu presque une
catastrophe, parce qu'ils ne parlaient pas la même langue.
Pourquoi
les gens ne parlaient pas le grec? Il y a une expression, “La langue de
toutes les personnes est douce dans des leurs propres oreilles”. C'est
bien d'ecouter la langue de votre coeur. Par example, quells phrase a de
plus signifiance pour vous?
나는 당신을 사랑합니다.
Je t'aime.
Ich liebe dich.
I love you.
Te amo.
De
plus signification, j'ai un ami qui était missionaire en Albanie. Il
travaillait avec un tranducteur. Il partageais sa foi avec un albanais.
Après un long moment il a dit “si je peux vous entendre, je croirai”.
Donc,
la conclusion est . . c'est difficille d'apprendre une nouvelle langue,
mais c'est très important and je pense que c'est la volonté de Dieu.
Donc il nous aidera, et j'apprendrai le français coûte que coûte.
mardi 27 novembre 2012
lundi 19 novembre 2012
Conseil pour les croyants
« Comme
Jésus parlait ainsi, plusieurs crurent en lui. Et il dit aux Juifs
qui avaient cru en lui: Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes
vraiment mes disciples ; vous connaîtrez la vérité, et la
vérité vous affranchira. » (Jean 8.30 – 32)
- Pourquoi ont-ils cru en Jésus ? Grâce à ses paroles. Pour que quelqu'un ait cette même opportunité, il faut qu'il entende la Parole de Dieu. C'est à nous de la partager avec lui. « Jésus répondit : Il est écrit : L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. » (Matthieu 4.4) « Ainsi la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Christ. » (Romain 10.17) Il y a plusieurs années dans un théâtre de Moscou, l'acteur Alexander Rostovzev s’est converti en jouant le rôle de Jésus dans une pièce de théâtre sacrilège intitulée « Christ dans un smoking ». Il était censé lire deux versets du Sermon sur la Montagne, enlever sa robe, et de crier : « Donnez-moi mon smoking et mon chapeau haut de forme ! » Mais comme il avait lu les mots : « Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux ! Heureux les affligés, car ils seront consolés ! » (Matthieu 5.3 — 4), il se mit à trembler. Au lieu de suivre le script, il a gardé continué la lecture de Matthieu 5, en ignorant les toux, les appels et les tapements de pieds de ses collègues acteurs. Enfin, se rappelant un verset qu'il avait appris dans son enfance dans une église orthodoxe russe, il s'écria : « Et il dit à Jésus : Souviens-toi de moi, quand tu viendras dans ton règne. » (Luc 23.42) Avant que le rideau ne soit abaissé, Rostovzev avait reconnu Jésus-Christ comme son Sauveur personnel. La Bible est la puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit. (Romains 1.16)
- Jésus donne quelques instructions pour ses disciples. C'est quoi un disciple ? C'est quelqu'un qui suit Jésus. Un disciple, normalement, était comme un stagiaire, il passait sa vie en suivant le Maître, il imitait ses mouvements et ses mots, en essayant d'être de plus en plus comme lui.
- Le test — D'abord, demeurez dans sa parole. Quelqu'un a partagé cette histoire d'un disciple : Mon médecin a recommandé une intervention chirurgicale et m'a renvoyé vers un spécialiste. Arrivant tôt pour mon rendez-vous, j'ai trouvé la porte ouverte et le jeune chirurgien, absorbé dans la lecture, derrière le bureau de la réceptionniste. Comme il ne m'a pas entendu entrer, je me suis raclé la gorge. Surpris, il referma le livre, que je reconnus comme une Bible. « Est-ce que la lecture de la Bible vous aide avant ou après une opération ? » Demandais-je. Mes craintes ont été dissipées par sa douceur, un mot de réponse: « Pendant » On doit continuer dans la Parole qui nous a apporté la vie éternelle. Si on demeure dans sa parole, on est un disciple. Si on est fatigué par la lecture, si on est facilement offensé par ses enseignements, si on n'est pas touché par les grands passages, si on ne veut plus la défendre, on devrait se regarder à l’intérieur pour vérifier que l'on est vraiment un enfant de Dieu.
- Le résultat, « vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. »
- Remarquez que la vérité existe. Aujourd'hui plusieurs disent que la vérité n'existe pas, ou que la vérité est différente pour chaque personne et dans chaque occasion. Jésus est la vérité. La vérité est dans la Bible. On doit croire les vérités qui s'y trouvent, et chercher de connaître davantage. On ne doit pas l'étendre, ou l'ignorer. Il y a une histoire d'un homme qui marche avec Satan. Ils voient un homme devant eux qui tout à coup se baisse et prend quelque chose par terre. L'homme demande à Satan, « Qu'est-ce qu'il a trouvé ? ». « Un peu de vérité », répond Satan. « Vous n'avez pas peur ? » demande l'homme. « Non » ; Satan dit, « Je vais lui faire créer une autre religion. »
- La vérité nous affranchira, nous libérera. La liberté vient avec la vérité. « C'est pour la liberté que Christ nous a affranchis. Demeurez donc fermes, et ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la servitude. » (Galates 5.1) Paul décrit l'esclavage en Romain 7. « Misérable que je suis! Qui me délivrera du corps de cette mort?... Grâces soient rendues à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur !... Ainsi donc, moi-même, je suis par l'entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché. » (Romain 7.24 – 25) La liberté nous est donnée pour notre âme au moment du salut, mais on vit toujours dans ce corps humain. Demeurer dans la Parole de Dieu, nous aide à vivre une vie même sur la terre, libérés du péché. Que notre prière soit comme celle de Peter Marshall devant le sénat américain. « Seigneur Jésus, toi qui es le chemin, la vérité et la vie ; entends-nous quand nous prions pour la vérité qui nous affranchit. Apprends-nous que la liberté n'est pas seulement d'être aimé, mais aussi d'être vécu. La liberté est une chose trop précieuse pour être enterrée dans les livres. Elle coûte trop cher pour être amassée. Aide-nous à constater que notre liberté n'est pas le droit de faire comme nous voulons, mais le droit de faire ce qui est juste. »
mardi 13 novembre 2012
Qui est Jésus ?
« Qui
es-tu ? lui dirent-ils. Jésus leur répondit : Ce que je
vous dis dès le commencement. J'ai beaucoup de choses à dire de
vous et à juger en vous ; mais celui qui m'a envoyé est vrai,
et ce que j'ai entendu de lui, je le dis au monde. Ils ne comprirent
point qu'il leur parlait du Père. Jésus donc leur dit : Quand
vous aurez élevé le Fils de l'homme, alors vous connaîtrez ce que
je suis, et que je ne fais rien de moi-même, mais que je parle selon
ce que le Père m'a enseigné. Celui qui m'a envoyé est avec moi ;
il ne m'a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est
agréable. Comme Jésus parlait ainsi, plusieurs crurent en lui. »
(Jean 8.25 – 30)
- Une question simple, mais importante.
- « Qui es-tu ? » Les pharisiens ont posé cette question à Jésus après qu'il ait déclaré son origine. Parce que l'on n'était pas présent pendant ce discours, on doit imaginer leur façon de la poser. . .
- Comme une vraie question où ils cherchent à savoir la vérité. Cela est possible, mais j'en doute. Les pharisiens ensemble n'ont jamais posé une question de cette façon. Certes, il y en avait plusieurs qui, seuls, ont posé des questions à Jésus, comme Nicodème.
- Il est probable que ce soit un piège. Ils essaient peut-être de l'attraper, de le forcer à dire quelque chose pour déclencher le piège.
- Ils l'ont peut-être dit avec ironie. Après avoir déclaré qu'il est la Lumière du monde, ils diraient « Mais qui es-tu toi qui parles de cette façon, tu es fou ou quoi ? »
- Mais cette question-là est une question importante pour nous aujourd'hui.
- Pour les non-croyants, n’avez-vous jamais posé cette même question. Cherchez-vous vraiment la réponse ?
- Pour les chrétiens, croyez-vous toujours que Jésus est vraiment ce qu'il a prétendu ?
- Une réponse prophétique.
- « Ce que je vous dis dès le commencement. » D'abord Jésus donne cette phrase. Parce qu'il n'y a pas beaucoup de ponctuation en grec, on ne sait pas si c'est une question ou une affirmation.
- Jésus a-t-il posé une question ? Leur rappelait-il ses déclarations précédentes ?
- Jésus a-t-il fait une affirmation ? Voulait-il les réprimander pour leur non-croyance ? En tout cas Jésus a déjà expliqué ses origines. Bien entendu, il ne leur a pas dit « Je suis le Christ, le Fils de Dieu qui va mourir sur la croix pour les péchés de tout le monde. » Mais il l'a dit indirectement, et c'est sûr, les pharisiens comprenaient bien ses affirmations.
- « J'ai beaucoup de choses à dire de vous et à juger en vous. »
- Jésus leur dit qu'il va donner plus de détails dans l'avenir. Dans peu de temps Jésus va dire : « En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu'Abraham fût, je suis. » (Jean 8.58) « Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort. » (Jean 11.25) « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. » (Jean 14.6) « Je suis le vrai cep, et mon Père est le vigneron. » (Jean 15.1)
- Mais aussi qu'il va les juger. Bientôt Jésus va dire : « Hypocrites ! Vous savez discerner l'aspect de la terre et du ciel ; comment ne discernez-vous pas ce temps-ci ? » (Luc 12.56) « Serpents, race de vipères ! comment échapperez-vous au châtiment de la géhenne ? » (Matthieu 23.33) « Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites! parce que vous ressemblez à des sépulcres blanchis, qui paraissent beaux au dehors, et qui, au dedans, sont pleins d'ossements de morts et de toute espèce d'impuretés. » (Matthieu 23.27)
- « Mais celui qui m'a envoyé est vrai, et ce que j'ai entendu de lui, je le dis au monde. » Ce que Jésus a enseigné est vrai. Il n'a dit que la vérité. Ses paroles sont les Paroles de Dieu. On peut dire que cela était dur pour les pharisiens à entendre. Et pour nous ? Il y a des choses que la Parole de Dieu nous dit, qui sont difficiles à entendre : ces versets qui parlent du sacrifice, qui nous disent de le suivre coûte que coûte, qui parlent de ce qui peut nous arriver si on suit Jésus comme il faut.
- La suite.
- Ils ne comprennent pas. Ils ne veulent pas comprendre ; or ils ne lui ont pas demandé de l'expliquer. Ils sont fermés. Et nous, cherchons-nous la vérité de Dieu ? Quand on trouve des passages difficiles, on les saute, ou on les étudie et on prie le Seigneur de nous aider à trouver la vérité.
- « Quand vous aurez élevé le Fils de l'homme, alors vous connaîtrez ce que je suis, et que je ne fais rien de moi-même, mais que je parle selon ce que le Père m'a enseigné. » Jésus parle de quel moment ? Sa crucifixion. Bientôt ces mêmes gens iront hurler les mots « Crucifie-le ! Crucifie-le ! » Ils verront sa mort et ils vont vérifier que son corps est dans le tombeau et bien fermé. Mais ils vont aussi entendre que le rideau du temple a été déchiré, que plusieurs morts ont été ressuscités. Puis des soldats viendront leur dire que des anges sont apparus et que le tombeau est vide. Mais ces pharisiens refusent de croire en lui. Et vous ? Vous voyez l'épreuve, croyez-vous qu'il est le fils de Dieu ? Qu'est-ce qui vous bloque ?
- « Celui qui m'a envoyé est avec moi ; il ne m'a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable. »
- Quelle relation entre le Père et le Fils ! Mais c'est aussi une relation basée sur l'obéissance. Dieu qui L'a envoyé, va avec Lui. Là il peut avoir confiance de ce que la mission réussira.
- Après le salut, Dieu a une mission pour nous aussi. « Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus Christ pour de bonnes œuvres, que Dieu a préparées d'avance, afin que nous les pratiquions. » (Éphésiens 2.10) Mais Dieu vient avec nous, donc la mission réussira, si on fait toujours ce qui lui est agréable. Qu'est-ce que ça veut dire ? La mission que nous avons pour notre vie réussira ? Non, Sa mission réussira. Commençons-nous la mission et puis pensons-nous que nous pouvons faire ce que l'on veut après ? Sommes-nous comme l'église à Laodicée, Dieu frappe-t-il à la porte, attendant que nous lui ouvrions et que nous le laissions entrer ? (Apocalypse 3.14 – 20) Acceptez sa mission pour votre vie, faites-la avec lui, obéissez à sa parole.
lundi 5 novembre 2012
Se coucher, s'endormir, se réveiller
« Psaume
de David. À l'occasion de sa fuite devant Absalom, son fils. O
Éternel, que mes ennemis sont nombreux ! Quelle multitude se
lève contre moi ! Combien qui disent à mon sujet : Plus
de salut pour lui auprès de Dieu ! — Pause. Mais toi, ô
Éternel ! Tu es mon bouclier, tu es ma gloire, et tu relèves
ma tête. De ma voix je crie à l'Éternel, et il me répond de sa
montagne sainte. — Pause. Je me couche, et je m'endors ; je me
réveille, car l'Éternel est mon soutien. Je ne crains pas les
myriades de peuples qui m'assiègent de toutes parts. Lève-toi,
Éternel ! Sauve-moi, mon Dieu ! Car tu frappes à la joue
tous mes ennemis, tu brises les dents des méchants. Le salut est
auprès de l'Éternel : que ta bénédiction soit sur ton
peuple ! — Pause. » (Psaumes 3.1 – 8)
David commence ce
psaume avec une prière. Il adresse ses problèmes à l’Éternel.
Vous avez peut-être eu des problèmes la semaine dernière aussi.
Allez à Dieu dans la prière. En plus, les ennemis de David se
moquent de lui. D'abord remarquez que les gens nous regardent et ils
attendent pour voir comment on va réagir face aux problèmes, et si
Dieu est fidèle. Verset 4 David a confiance en Dieu : « mon
bouclier, ma gloire, et celui qui relève ma tête. » Donc il
crie à l’Éternel et il lui répond. Parfois on crie à Dieu et
puis on est un peu étonné quand il nous répond. Dieu entend nos
prières et il nous répond.
David a assez de
confiance en Dieu, quand il se couche, il s’endort, et il se
réveille. Parfois on a du mal à le faire. Peut-être on se
couche, mais on ne dort pas. Peut-être on dort, mais on a du mal à
se réveiller. David suit sa routine. Il continue à vivre, car
l’Éternel est son soutien. (Verset 8) « Lève-toi,
Éternel ! Sauve-moi, mon Dieu ! » David est ardent,
il est emballé à l'idée que Dieu lui donnera la délivrance. Je
dirais que c'est comme dans un match quand votre équipe a pris le
ballon et il est certain qu'elle va marquer. On est impatient, on a
hâte de voir comment Dieu va nous délivrer. David le décrit :
« Car tu frappes à la joue tous mes ennemis, tu brises les
dents des méchants. » La Bible décrit Satan le diable, « rôde
comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera. » (I
Pierre 5.8) Je crois que je peux ajouter qu'il est comme un lion
sans dent. David termine ce cantique avec une louange. « Le
salut est auprès de l'Éternel : que ta bénédiction soit sur
ton peuple ! » Oui notre salut vient de Dieu, et il nous
a énormément bénis. Béni soit Son nom. Louez-le.
Chercher Jésus
« Jésus leur dit encore :
je m'en vais, et vous me chercherez, et vous mourrez dans votre
péché ; vous ne pouvez venir où je vais. Sur quoi les Juifs
dirent : se tuera-t-il lui-même, puisqu'il dit : Vous ne
pouvez venir où je vais ? Et il leur dit : vous êtes d'en
bas ; moi, je suis d'en haut. Vous êtes de ce monde ; moi,
je ne suis pas de ce monde. C'est pourquoi je vous ai dit que vous
mourrez dans vos péchés ; car si vous ne croyez pas ce que je
suis, vous mourrez dans vos péchés. » (Jean 8.21 – 24)
- Ils cherchent Jésus.
- Jésus leur dit « encore ». Jésus était se répétait parfois. Il a dit la même chose aux Pharisiens au chapitre précédent. (Jean 7. 34) Ce qui est bien parce que nous sommes lents à comprendre. Comme pour des enfants, il faut répéter plusieurs fois la même chose avant que cela reste bien fixé dans notre cerveau.
- « Je m'en vais ». Jusqu'à là, les pharisiens étaient contents. « Ouais, enfin, il va partir, et nous serons tranquilles ! »
- « Et vous me chercherez. » Ici, les pharisiens ont arrêté leurs pensées positives. « Pourquoi chercherions-nous ce mec ? On n'en a pas besoin ! » Ils cherchent le Messie sans se rendre compte que c'est Lui. En l'année 70, l'armée romaine envahit Jérusalem et la ville fut rasée. On peut imaginer les pharisiens au temple le jour de l'invasion, priant Dieu de leur envoyer le Messie. Mais c'était trop tard.
- « Vous mourrez dans votre péché. » Quel est donc ce péché qui les mène à la mort ? C'est le péché d'impiété, de non-croyance. Les pharisiens ont admis leurs péchés dans les versets précédents, quand ils ont amené la femme adultère à Jésus. Mais ils ne voulaient pas les confesser devant Dieu, se repentir, et prier Dieu de les sauver grâce au sacrifice parfait de Jésus-Christ.
- En plus Jésus leur dit qu'ils ne vont pas au ciel. « Vous ne pouvez venir où je vais. » Les pharisiens ont été enseignés qu'ils allaient au ciel. Ils étaient enfants d’Israël. Ils ont gardé la loi de Moïse et les traditions des juifs (selon eux). Il faut montrer aux gens qu'ils sont pécheurs, et que s'ils meurent dans cette position, ils n'iront pas au ciel. Ce sont des choses difficiles à entendre, mais qui sont nécessaires pour le salut.
- La résistance.
- « Sur quoi les Juifs dirent : se tuera-t-il lui-même, puisqu'il dit : Vous ne pouvez venir où je vais ? » Les juifs ont bien compris que Jésus parlait de sa mort. Mais ils n'ont pas compris que Jésus allait mourir sur la croix pour les péchés de tous les hommes. Ils ont pensé plutôt qu'il allait se suicider, le suicide était un péché sévère pour les juifs.
- « Et il leur dit : vous êtes d'en bas ; moi, je suis d'en haut. Vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde. » Jésus montre un problème dans leurs pensées. Ils ont un point de vue humain, terrestre. Cela veut dire qu'ils étaient plutôt des enfants de Satan, parce qu'il est pour le moment le prince de la terre. Mais Jésus est Dieu. Il a le point de vue céleste.
- « C'est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés ; car si vous ne croyez pas ce que je suis, vous mourrez dans vos péchés. » Donc voilà ; le problème chez les pharisiens ; ils ne croyaient pas en Jésus. Cette fois-ci Jésus utilise le pluriel du mot « péchés ». Ils vont mourir avec tous leurs péchés, parce qu'ils ne croyaient pas dans le fils de Dieu qui était devant eux. Quelle tristesse d'être si près de Jésus, mais de rater l'occasion de le prier de lui demander pardon pour le péché. C'est simple et clair cette expression. Si vous ne croyez pas en Jésus, vous allez mourir dans vos péchés et passer l'éternité en enfer. Mais si vous croyez en Jésus, vous êtes passés de la mort à la vie. Vous allez mourir en Christ et vivre éternellement.
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