samedi 8 juin 2019

Job et ses amis - Définition des termes

Que signifie précisément le mot « souffrance » ?  Job a clairement souffert beaucoup. Quel sont les conditions nécessaire pour prétendre avoir souffert ?   Les amis de Job sont venus et offert du conseil.   Ceux qu'il ont incorrectement dit, et par conséquent ceux que Dieu a déclaré, s'appliquent à ceux qui avaient souffert, donc c'est important de connaître où sont les limites (de la souffrance).   
La souffrance  
Premièrement, on doit remarquer que Job, dans son époque, était un homme riche. Par conséquent, quand il a tout perdu, il a beaucoup perdu. Tous ses troupeaux et ses enfants.   Tous ceux qu'il lui restait, étaient sa femme et trois de ses serviteurs.  Étant donné que il n'avait plus de moyen à subvenir à ses besoins, il allait bientôt perdre ses serviteurs et tous ce qu'il restait, soit ses terrains, soit sa maison.  Comme Philip Yancey l'a dit, « Le livre de Job fait monter les enchères : il décrit la chose la plus mauvaises qui peut arriver chez une personne la plus juste. »  Quelqu'un est-il obligé à souffrir dans la même manière, à obtenir un certain niveau ?     
C'est quoi, la souffrance ?
« Souffrance » vient de la racine « souffrir ». Comme un verbe intransitif, il signifie, « 1. endurer la mort, la douleur, ou le désarroi, 2. subir la perte ou les blessures, 3. soumettre à un handicap ou incapacité. » La définition ne varie pas d'un dictionnaire à un autre. L'opposé est la plaisir ou le bonheur.   Donc, la souffrance est un perte de plaisir, ou de bonheur, ou ce qui nous y mêne.   
Peut-on trouver une définition plus claire de ce que la souffrance veut dire ? C'est important pour appliquer les principes que l'on trouve dans le livre de Job.   Peut-on faire une application de ce que les amis ont mal dit, quand quelqu'un se cogne le pied ?  Doit-il obtenir un certain niveau de souffrance ? Même dans une petite souffrance, les principes de la Parole de Dieu s'appliquent toujours.   La souffrance peut même être de ne pas trouver le sac-à-main parfait au magasin, car cela peut nous amener à la perte de plaisir.  Dans la vie de Job, il a reçu plusieurs coups à la fois. Donc, un seul événement dans la vie de quelqu'un ne pourrait pas nous mener à la souffrance, mais en combination avec d'autres,  ça peut.  D'avoir renversé le café sur soi-même ne peut pas trop nous déranger. Vit oublié. Mais, un jour, en route pour un mariage, en retard, et puis on reverse le café car quelqu'un nous coupe la route....compris ?  Alors, la souffrance est les circonstances dans la vie qui enlèvent notre joie, normalement associés avec la perte, le dommage, la douleur, et la mort. Les synonymes sont : les troubles, le mauvais temps, les pertes.  Les sous-catégories inclus : les tribulations, la persécution, et les difficultés.     
Qui souffre ?
Selon la définition, on peut clairement dire que tous souffrent, ou ont souffert, ou vont souffrir, dans cette vie.  Job, lui-même dit, « L’homme né de la femme, ses jours sont limités et pleins de troubles ! »  (Job 14.1 version Semeur)  Remarquant l'augmentation en suicides au travail, journaliste Patrick Coupechoux a étudié les ouvriers à plusieurs usines en France et a conclus que tout le monde souffre, à un tel point que 8 pour cent de la population adulte ont faut une tentative de suicide, et une sur cinq s'est passé au lieu de travail.  Il y a eu plus de morts venant de suicide, que des accidents. Cela n'est qu'une partie de la vie. Et si on inclut tous les autres aspects : les familles éclatées, les pressions du groupe, les problèmes financiers...On peut conclure, comme Coupechoux a fait, que tout le monde a souffert.  Dans le cadre de cette thèse, on reste focaliser sur la souffrance dans la vie d'un chrétien, un disciple de Jésus.  Job est un exemple, claire et nette, du fait que les croyants vont souffrir.  Il y a eu un homme nommé Lazare : pauvre, sans domicile fixe, mendiant, plein de plaie, et léché par les chiens, cependant c'est lui qui est allé aux cieux (Luc 16.19-31).   Au travers du Nouveau Testament, on trouve des exemples et des enseignements sur ce sujet. Paul, un des plus grands missionnaires et serviteurs de Dieu, l'a dit comme cela,
« Trois fois j’ai été battu de verges, une fois j’ai été lapidé, trois fois j’ai fait naufrage, j’ai passé un jour et une nuit dans l’abîme. Fréquemment en voyage, j’ai été en péril sur les fleuves, en péril de la part des brigands, en péril de la part de ceux de ma nation, en péril de la part des païens, en péril dans les villes, en péril dans les déserts, en péril sur la mer, en péril parmi les faux frères. J’ai été dans le travail et dans la peine, exposé à de nombreuses veilles, à la faim et à la soif, à des jeûnes multipliés, au froid et à la nudité. Et, sans parler d’autres choses, je suis assiégé chaque jour par les soucis que me donnent toutes les Eglises. »
(2 Corinthiens 11.25–28)

Paul connaissait la souffrance.  Cette thèse, donc, couvre ceux qui sont chrétien et souffre, ce que tous les chrétiens vont traversé en plusieurs formes et degrés.   Pas tous ne peuvent dire, comme Job, qu'ils sont sans péché, « méritant » une telle souffrance.   En générale, « L'expérience en psychothérapie met en évidence l'idée biblique qu'une grande partie des gens savent pourquoi ils sont en difficulté, même s'ils le nient au début. » Il faut s'examiner quand la souffrance arrive pour voir si on souffre comme Job, ou s'il y a de péché dans la vie qui nous mêne à souffrir. Il faut dire que si quelqu'un ne connaît pas Jésus comme Sauveur, il souffre seul et, sans la repentance, va passer l'éternité tourmenté en enfer.  La force de Job est venu de sa relation avec le Christ, son rédempteur. Si quelqu'un n'a pas de même relation, il doit se repentir de ses péchés et mettre sa foi en Jésus Christ pour le sauver.    
Conseiller 
Quoi donc est « conseiller » ?  Les amis de Job, et Dieu, parlaient à Job après les événements dans sa vie  qui ont causé sa souffrance. « Conseiller » vient du mot « conseil » qui signifie « le conseil donné », dont simplement dit, « conseiller » est « donner conseil ». Les amis de Job l'ont consolé par leur présence, en découvrant la souffrance de leur ami. Mais, « la consolation » est devenue « le conseil » après sept jours, quand ils ont enfin parlé.  La présence de Dieu était avec Job tout le long et le « Merveilleux Conseiller » (Ésaïe 9.6 Semeur) aussi donnait du conseil, qui sera examiné ainsi que les autres amis.  Les chrétiens sont en contact avec d'autres personnes qui souffrent et ils ont besoin de savoir que ce qu'on leur dit dans ces moments est « le conseil ». La Bible parle en détail du besoin de « Consolez-vous donc les uns les autres... » (1 Thess. 4.18)   Souvent, le confort dans la présence d'un ami suffira.  Attention : Les amis de Job ont mal conseillé, dans l'error.   Il ne faut pas faire pareil. C'est une grande réponsibilité, « donner du conseil », et ne devrait pas être pris à la légère.   Quelqu'un pourrait être coupable d'avoir laissé une personne...   

« blessée sur le champs de bataille, haletant ; un ami, un membre de la famille, ou un pratiquant arrive et administre, au lieu d'oxygène, du gaz toxique. En expliquant où elle s'est trompé, pourquoi tout sera mieux avec un peu plus de foi, comment il doit être Dieu en train de montrer une méchanceté cachée dans sa vie. Au lieu d'avoir reçu la vie, soufflée en elle, une indication infaillible de l'Esprit-Saint, elle meurt un peu plus. »

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